Poème d’Emmanuel Amiot
Sur la mer calmée
Tu vins à moi comme un soleil
Moiré
Merveille de lune
Albe vaisseau de lumière
Il a déferlé ses voiles
Fui ma rive ombragée de pins odorants
Souqué vers l’horizon vers le couchant
Disparu aux confins de la nuit
Quelle aurore saura m’oindre
De ses pétales exquis
Quand tes petits doigts roses
D’océans nous séparent
Comment renaître au jour
Quand tu n’existes plus ?